- Je ne veux pas aller en enfer
- Habille-toi, tète d’oignon ! voici une orange pour t’occuper
- Avec t’es-tu encore disputé ?
- Pouilleuse ! moi ! entendez-vous, peuple des musulmans ?
- Qu’a-t-il ton fils ?
- Vos vœux seront exaucés et vos désirs comblés
- Voici pour moi et pour la Chérifa qui m’accompagne
- A ton age ! n’as-tu pas honte de mouiller ton lit presque chaque nuit ?
- Fatma ! pourquoi t’es-tu dérangé ? je ne peux accepter ! deux beignets ! c’est beaucoup trop ! par dieu je ne puis accepter
- N’y –t-il personne ? puis-je passer ?
- Encore un bout de verre ! fais attention de ne pas te blesser
- Il devient lourd cet infidèle ! c’est bientôt un homme !
- Ta lampe éclaire bien, mais n’y a-t-il pas de danger d’explosion ?
malheur ! malheur à moi ! je suis la plus misérable des mères
- Passe ! passe ! passe !
- Le pacha ! mangea Lalla Aicha ! O nuit ! O nuit !
- Sais-tu comment ce fils de péché l’a remercié de ses bienfaits ?
- C’est bien mon fils, tu seras, s’il plait à dieu, un Taleb, mendiant de la science. Qu’Allah t’ouvre les portes du savoir
- La pauvre femme a tout vendu. Même les rats n’ont plus rien à se mettre sous la dent
- Je sais qui est mort : Sidi MoHAMED Ben Tahar, le coiffeur, il était malade depuis deux mois
- Il reviendra ce soir, Zineb te rendra ta chaîne
- Paresseux toi-même, notre coin est plus propre que le tien
- Est-ce que j’aurai une chemise neuve ?
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